Auguste Millet était d’humeur lugubre. Thierry, son éditeur, venait de raccrocher et les nouvelles n’étaient pas bonnes. Son dernier roman, L’Ombrelle, ne se vendait pas. Et ce malgré la campagne marketing colossale des éditions Thevenin.[…]
Auguste Millet était d’humeur lugubre. Thierry, son éditeur, venait de raccrocher et les nouvelles n’étaient pas bonnes. Son dernier roman, L’Ombrelle, ne se vendait pas. Et ce malgré la campagne marketing colossale des éditions Thevenin.[…]