Armez-vous donc, mes amis voyageurs
Armez-vous donc, mes amis voyageurs, Qui me peigniez de trop tristes tableaux, De pays et de villes vides de saveurs, Vous, qui n’encensez que vos tombeaux. Si mon rire vous sabre dans vos efforts grotesques, Quand vous me parlez d’ailleurs, des trames de la terre, De sculptures, de château, des plus petites arabesques, C’est que du monde, vous n’êtes qu’à l’estuaire. Partez, si vous le voulez affronter les collines, Les marées et les flots assidûment déchaînés. Les couteaux cinglant que…